La machine de Skinner
La machine de Skinner (1958)
Skinner
a apporté des contributions théoriques dans le domaine de la psychologie.
La machine de Skinner repose sur un concept de conditionnement opérant qu’il distingue du conditionnement classique Pavlovien. L’élève s’auto-corrige et compare sa réponse à celle du programme. Cela repose sur la théorie Béhavioriste et le principe de l’enseignement programmé individuel.
La machine Skinner renvoie aux principes pédagogiques d’individualisation de l’enseignement.
Il considère le conditionnement opérant comme un conditionnement
répondant peu adapté : représente l'imperfection humaine à réagir parfois
à la vue d’un stimuli. Il prend en compte les répercussions sur l’individu à
l’origine d’une action, ce qui permet de décrire à
l’individu avec les conditions externes un
comportement et les conséquences liées.
Les comportements des hommes (ne sont pas des réflexes mais
des conduites
complexes) qui ont un effet sur l’environnement :
• L’élève progresse de manière linéaire de
module en module. = on avance étape par étape.
• Concept de linéarité : on ne peut pas réussir si on n’a
pas franchi toutes les étapes intermédiaires.
Ex : exploitation des principes de la machine de Skinner
(exerciseurs, jeux éducatifs, simulation…)
Principes conceptuels :
-Linéarité et
l'évaluation contrôle
-Progression graduée (par
étape en définissant les objectifs/phases)
-Répétition,
essais/erreurs
-Motivation (seule
la réussite compte/récompense)
-Enseignement de
masse : parcours unique est relatif à un même sujet à une masse
-Enseignement
individualisé (et non personnalisé) : par exemple les TD
-Complémentarité
Homme-machine (ex : tâche remédiation à l’erreur). Il faut
fournir les tâches rébarbatives à la machine et valoriser la spécificité
humaine
1 commentaires:
Super ça reprend bien les notions pour la machine de SKinner!
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